Noces de Sang
Federico Garcia Lorca
Noces de sang trouve sa source dans un fait divers datant du 25 juillet 1928, ça s’est passé dans une ferme aux alentours d’Almeria. Noce de sang est un drame, oui un drame comme il s’en passe aujourd’hui, dans les villes ou les campagnes, lorsqu’un homme perd la tête, qu’une femme s’abandonne alors qu’elle n’aurait pas dû…que la mort s’en mêle car elle semble la seule résolution possible. Tragédie en trois actes et sept tableaux, la pièce est l’histoire d’un mariage contraint. Elle glisse peu à peu vers un poème où la métaphore et l’inspiration d’une cantate de Bach accueillent le drame et laissent deux femmes livrées à leur douleur. Noces de sang exprime la lutte contre ses désirs, sans courber l’échine.
Le Figaroscope
« Une réussite. »
Froogy’s delight
« Magnifique spectacle, intuitif, inspiré, poétiquement terrible. »
L’Humanité
« Dans Noces de Sang le meilleur est dans la peinture du monde nocturne et fantastique, avec des apparitions propres à susciter une terreur enfantine et des bruits majorés de sabots de cheval. »


La Vie est un songe
Pedro Calderón de la Barca
La vie, ce songe si magistralement écrit par Calderón reflète l’âge d’or espagnol, mais résonne toujours aussi fort aujourd’hui. La vie est un songe est une séance onirique et expérimentale racontant, entre autres, les méandres existentiels d’un père, Basyle, face à son fils, Sigismond. L’homme est-il libre d’être sauvé d’un présage, ou bien tragiquement prédestiné à rester dans l’ombre ? Calderón, cousin de Shakespeare et parent de Hugo, excelle dans la démesure lyrique où folies meurtrières et psychanalyse cohabitent allègrement. Qui régit les lois humaines ? Les astres, la raison ou l’amour ?
France Culture
« La traduction inédite de Charlotte Escamez rend le texte classique versifié étonnamment accessible et contemporain. »
Télérama
« Il règne dans cette Vie est un Songe montée de bric et de broc une espèce de nécessité vitale de jouer, de montrer. Et le public écoute bouche bée. »
Le Point
« Ce spectacle-là nous mène par le bout du nez, nous perd et nous retrouve, un peu sonnés, et heureux... Songeurs éveillés. »
Les Mystères de Paris
Eugène Sue
Roman-feuilleton publié dans le Journal des débats, Les Mystères de Paris tiennent en haleine le Paris de l’année 1842. Avec des mots crus de vérité, Eugène Sue pénètre les entrailles d’une ville gargantuesque où fourmillent « les naturels de cette race infernale qui peuple les prisons, les bagnes, et dont le sang rougit les échafauds… ». Adapter Les Mystères de Paris, ressemble à une excursion dans le sale, le sombre et le sang, le tout mêlé d’une tendre envie de justice…
Pariscope
«Adapter au théâtre ce terrifiant récit de mille trois cents pages est un défi que Charlotte escamez a formidablement réussi.»
Le Figaro Magazine
«Tout est à louer, excellente adaptation de Charlotte Escamez.»
Webthea
«Voilà qu’au théâtre, Charlotte Escamez a su compresser cette énorme somme feuilletonesque et en faire la matière d’un spectacle de deux heures et demi. Très réussi.»





La Belle et la bête
Madame Le Prince de Beaumont
« Il y avait une fois », un riche marchand qui avait trois filles. La cadette était surnommée « La Belle enfant ». Caché au fond d’un bois sombre, se trouvait le château de La Bête, un monstre d’une grande laideur. Un jour, le marchand cueillit une rose dans le jardin de La Bête. Pour sauver son père, la Belle dût alors rejoindre La Bête…Adapter La Belle et la Bête c’est s’attaquer à un classique du conte, à une histoire poétique et merveilleuse. Vouloir prolonger cette histoire qui traite magistralement de la différence, des apparences, de l’amour impossibles, des préjugées. D’y plonger encore une fois, pour faire rêver, encore une fois.
Télérama Sortir TT
« La féérie investit la scène ».
A Nous Paris
« Poésie et magie vous attendent dans ce conte qui raconte l’histoire de deux mondes ».


Presse
Presse
Presse
Presse
Misérables
Victor Hugo
Notre Misérables dresse le tableau d’une petite société qui pourrait évoluer dans des temps proches des nôtres. La gosse maltraitée, Cosette, la tenancière d’une auberge miteuse, Madame Thénardier, l’inspecteur viscéralement assoiffé d’ordre social, Javert, le détenu repenti, Jean Valjean, le royaliste converti à la République, Marius, la pauvre ouvrière qui devient une fille de joie, Fantine, le môme livré à lui-même dans la rue, Gavroche… et j’en passe, sont autant de figures qui pourraient hanter notre Paris d’aujourd’hui.
Misérables, car pour certains la misère est salvatrice alors que pour d’autres, elle devient mortelle.
Une histoire, celle de Cosette, la petite fille qui devient femme sous le regard tendre et tourmenté de son père de cœur.
Presse
La Critiquerie
On connait tous l’histoire des misérables, mais cette mise en musique a l’intelligence d’intégrer l’art théâtrale. Et l’équipe artistique fait très bien ce que d’autres adaptations n’avaient pas réussi à faire par le passé. Dans cette adaptation de Charlotte Escamez, chacun des acteurs de l’histoire joue plusieurs rôles et plusieurs instruments (violon, guitare, flûte…). On aime cette belle rencontre emprunte d’humanité, entre Cosette et son père de substitution et ancien forçat, Jean Valjean.
Télérama sortir
Impossible de monter Les Misérables sans faire des choix. Le parti pris de Charlotte Escamez a été de suivre le parcours du personnage de Cosette, de sa naissance à l’âge adulte, pour écrire sa jolie adaptation, fine et astucieuse, de l’œuvre de Victor Hugo.
Les Mémoires d'un fou
Gustave Flaubert
Écrits à 17 ans, les Mémoires d'un fou sont dans l'œuvre de Flaubert une tentative singulière de mêler les genres de la biographie et des mémoires. Réflexion sur les liens qui existent entre le langage et la réalité qu'il tente de représenter, Flaubert nous entraîne dans un jeu habile où il oppose sa 'folie' à la bêtise du monde.
Presse
Le Monde
« Il faut découvrir ces Mémoires d'un fou, le visage que lui prête William Mesguich est tout à fait bouleversant. Flaubert à l'école buissonnière enfin, Flaubert en plein délire!. »

