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La veuve, la couturière et la commère vivent sur un îlot isolé. Déterrer des secrets avec une spatule en fer, rafistoler des émotions avec du fil et une aiguille, ressasser des nouvelles avec un gros coquillage, voilà leur lot. Mais le fou et l’hidalgo s’échouent comme deux poissons volants sur cette petite planète aquatique, et ensemble ils jouent à de drôles de jeux…

Matin Plus

« Le texte poétique et décadent de Charlotte Escamez se joue de l’angoisse existentielle. »

La Terrasse

« Philosophique et loufoque, poissard jusqu’au sublime, le texte de Charlotte Escamez est un drôle de mélange qui emprunte à Kantor, à la mythologie, et à la psychanalyse les clefs de son déchiffrement. »

froggy’s delight

« Le spectateur est médusé, saisi d’un frisson métaphysique à l’issue de la représentation. »

Theatrauteurs

« Une pièce qui interroge. Charlotte Escamez tricote la métaphore. »

La Veuve, la couturière et la commère

Presse

Lomania

Maria, Maria, Antonia. Trois femmes, parents, omniprésentes, tentant l’omnipotence ou feignant l’impotence…Elles sont assises sur des chaises pliantes devant leurs portes. Elles changent de porte comme elles changent d’obsessions, pour se meurtrir, se chérir ou se haïr, selon que le vent tourne à gauche ou à droite. Elles déroulent les fils de leurs longues et pénibles vies avec ironie, en litanies, sous le spectre de leur défunt mari, frère et ami. Mais le petit chat est mort, comme un mauvais présage…

Presse

L’Humanité

« C’est acéré dans les mots. »

froggy’s delight

« Lomania, c’est un monstre. Celui de la Domination féminine. Un texte-flèche qui crève la médiocrité. »

Mozart l'Enchanteur

Comme dans les contes, Papageno et Papagena, deux oiseaux enchanteurs, se penchent sur le berceau de Mozart à sa naissance, le 27 janvier 1756 dans une belle maison bourgeoise de Salzbourg, à huit heures du soir, et lui confient un don pour la musique. Wolfgang Gottlieb  (qui signifie l’aimé des dieux) Amadeus Mozart sera un génie. Dans un monde onirique, qui met en abîme les personnages de son célèbre opéra « La flûte enchantée », nous avons voulu rendre la part de rêves à cet éternel esprit d’enfant doté de dons musicaux extraordinaires. Le jeune Mozart se questionne : « Papagena, ne suis-je qu’un miracle ?  J’ai parfois l’impression que tu es bien plus réelle que moi ». Nous le suivons dans son parcours échevelé, jusqu’à ce

Presse

Télérama Sortir TT

« Une jolie façon d’entrer dans l’univers passionné de Mozart. »

ELLE

« Une pièce surprise. L’enchantement entre notes et mots. »

 Pariscope

« Un véritable enchantement ! »

Lamuse

« Du grand théâtre ».

Adèle et les merveilles

« Adèle et les merveilles n’est pas une énième adaptation théâtrale du monument de Lewis Carroll. Adèle a des points communs avec Alice, elle est un peu sa cousine germaine. Adèle est journaliste, la nouvelle journaliste du pays des merveilles. Elle est curieuse, indépendant, guidée par la liberté. Une seule chose taraude vraiment Adèle : ne pas obtenir de réponse ! Le silence, l’angoisse et les pirouettes l’oppressent. Elle s’étonne de tout car rien ne va de soi dans ce drôle de monde : qu’un lapin cherche son chat par exemple ou qu’une brebis galeuse médite sous un drap blanc, ou encore qu’un hérisson rose se colle des bouchons de champagne sur les pics ne semblent troubler personne d’autres qu’elle…

Presse

Télérama Sortir T

« Un univers fantaisiste que l’auteure, Charlotte Escamez, s’amuse à habiller de jeux de mots, d'allitérations ou de figures de style. »

Pariscope

« Des dialogues truculents à souhaits. »

Comment devient-on Chamoune ?

Chamoune capte les âmes. Il tient ce don de son père qui le tenait de son père qui le tenait de son frère qui le tenait de son cousin germain Maximilien. Tout est beau dans le meilleur des mondes possibles au pays de l’âme jusqu’au jour où Domino le Diabolo, esprit malin du monde tourneboulé, dérobe l’âme de la princesse à la voix de cristal : la belle Lavila. Chamoune part alors pour un grand voyage avec sa sœur Nava et déploie sa magie pour sauver l’âme de la princesse. Sur sa route, il rencontre de drôles de personnages : le Cyclope Papoly et la sorcière Babaiaga. Ce conte inspiré des mythologies du monde entier nous interroge : comment garde-t-on son âme d’enfant ?

Le Parisien

« Un conte avec une grande énergie.»

Télérama Sortir TT
« Le mélange de poésie, où des mélodies exotiques saupoudrent les aventures d’humour langagier donne à l’ensemble, saveur, couleur et charme. »

Lamuse.fr
« Magique ! Le bonheur de se laisser prendre à cette histoire, sorte de conte initiatique bien ficelé, avec ce qu’il faut de suspense et de trouille. C’est du grand travail. »

Presse

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